mardi 13 octobre 2009

Chapitre I : Le pont de Fer

Il était devant une photo de la région des lacs du centre de l'Afrique, qui étrangement résonna comme le tintement d'une toute petite cloche. Il pensa que

sa vie était un peu sans doute comme celle des oublis de treize. Il connaisait pas bien cette Bande déssiné. il avait du en lire un ou deux albums mais

l'histoire lui était trop lourde d'inconscience.
Ce chiffre ne lui disait rien de particulier, il se dit, en sourirant que trois et un donnait quatre, finalement comme le nombre des grands Virungas du bord

d'un Lac.
Qui connait ces montagnes ? le monde connait le Kilimanjaro, le mont Kenya, les volcans du Cameroun et son char des dieux, les chaines de l'Atlas ou le

Tibesti... mais les Virungas ou la chaine du Ruwenzori, les connaissez vous ? Non, sans doute ! et pourtant deux de quatres montagnes sont pour lui le

souvenir de son origine.
La toile est ainsi faite que chacun peut y trouver des souvenirs cachés dans des émotions. Voilà un ans et plus qu'il paracourrait le monde de l'équateur à

l'équateur. Bien, oui ! j'imagine que vous imaginez, qu'il y qu'un équateur alors que pour moi ou lui sans doute, il y a au moins huits équateurs. Je devine

votre impression qui doit varier de l'interogation d'une absurdité ou du mensonge et quelque part vous avez un peu raison, on vous a bien appris qu'il y

avait une ligne ...la plus grande du monde et qu'elle s'appelle Equatoriale. (en cour de rédaction)

Le Parralélle, il l'avait connue plus tard dans d'autre endroits et au 4 de l'impuissance du temps de l'oubli.

Il c'était installé une vie d'enfance secondaire. La clochette comme une fée avait remplacé deux montagnes, par une autre doublée d'un grand et d'un petit mont.

La dissonance des lieux tenait pour lui du divin mais il ne pouvait alors comprendre pourquoi la vue de l'eau sur les montagnes était si importante.

L'eau de la petite enfance était si limpide et froide de leur calme et celle de l'enfance si en nuance et chaude de la marée des alizées, Mais les eaux de ses enfances étaient pour lui la source unique d'une attente du retour impossible de l'amour revenant des eaux.

De fait il recherchait toujours l'eau et l'eau devient son élément premier.

(écris à 14h...)
Les virungas sont de ces montagnes d'entre les tropiques qui ont la chance de fleurter avec la Neige, il n'avait pas vu de neige d'enfance ou trés peu d'un hivers de plaine froide, grise et européenne.

Bien sur l'hivers Africain n'exite pas en Saison des pluies ou dans celles du grand estuaire du golfe de guinée que l'on devrait appeller les Moussons.

Les photos appellants d'autres photos, l'image d'un pont de se dessina en lui.

Ce pont était de fer, mais celà n'était pas celui de la Vierre d'un autre Barrage, ni d'ailleur.

Il y a beaucoup de petit pont de fer dans le monde, mais ce pont était celui qui menait à la vie de l'enfant, il était la frontiére qui le séparait de sa maman.

Vous auriez pu lui montrer tout les ponts de fer du monde, rien ni aurait changé, le plus beau pont était petit de planches de bois et de traverses de fer.

Il menait à la grande maison du travail, là ou il attendait parfois sagement sur des fauteils en osier dans le patio, en allant la déranger parfois impatient à son bureau ou en jardinant avec Gran M... qui expliquait si bien tout ce que doit savoir un petit garçon.

Un instant, il vit à nouveau les colombes ou les pigeons s'envoler d'un toit.
Mais un pont avait été détruit et il imagina, qu'il avait peut être pas 45 ans.

L'âge etait incertain en Afrique pour ceux que l'on appelait justement les indigénes et aussi pour quelques Africains blancs, parrait il.

Les un par manque d'enregistrement ou les autres parfois par négligeance dans les actes.

Il eu pensé à la guerre, si terrible pour les enfants et les Mamans.

Il se souvient alors des mitrailleuses, des jeeps, des camions, des avions, du bruit des armes et de ceux qui était resté qu'il du prendre pour famille... les mercenaires du Lac Kivu.

Il se souvient alors qu'il n'avait pas été seul, mais avec une petite princesse, qu'il c'était donné le devoir de protégé de toute sa force du haut de ces trois pommes.

Les hommes n'ont que faire de s'encombrer d'enfants dans les combats d'un siege, alors il faut trouver des alliers, des amis possibles méme les plus improbable, méme s'il faut tout petit montrer qu'on peut être utile et compter les balles de mitrailleuse ou reggarder le ciel des heures pour alerter les avions sortant des nuages pour aider à ne pas se faire tuer.

Il n'y pas d'âge pour les bons yeux et pour la guerre des adultes, croyez moi, les enfants ont parfois moins peur que les grands.

Il savait trés bien compter et cela les avaient sauvé ...les deux enfants...

Elle avait si peur et elle était si térrorisée de l'idée méme qu'un avion puisse arrivé...

Il lui disait, "tu sait, c'est pas si grave" et puis il voyait pour elle toujour en premier, bien avant tout les mercenaires.

Si il en voyait un, il hurlait pour qu'ils mitraillent, ...ça les chassait les avions.

Cette petite guerre était pour l'enfant comme un jeu et les morts anomymes sont commes les perdreaux, ils coulent de rouge dans une douce chaleur de plumes, il devait avoir vécu bien pire.

Il y en avait pas trés souvent et comme aucun avait été touché devant lui, il imagina, juste ça !

Les balles étaient comme des piqures pour des moustiques de fer à peau d'acier et c'est tout.

Il savait bien pour les avions... Alors eu un doute pour choisir, son élément second qui a été ...